Photos du bas-côté Sud de la Cathédrale de Strasbourg
Photo de l'ensemble du bas-côté Sud de la nef, avec ses grandes verrières à 4 lancettes et son plafond voûté sur croisées d'ogives, dans la cathédrale de Strasbourg, avec en fond, l'entrée du transept Sud.
Photo des grandes statues en grès des Vosges alignées à l'entrée de la chapelle Sainte-Catherine, dans le bas-côté Sud de la nef de la cathédrale de Strasbourg. Yves Noto Campanella photographe.
Photo de la statue gothique en grès de Saint Jean-Baptiste à l'entrée de la chapelle Sainte-Catherine, dans le bas-côté Sud de la nef, dans la cathédrale de Strasbourg. Histoire de Saint Jean-Baptiste.
Photo de la statue de Sainte Catherine avec la roue de son martyre, à l'entrée de la chapelle qui lui est consacrée, dans le bas-côté Sud de la nef, à la cathédrale de Strasbourg. Histoire de Sainte Catherine.
Photo de Sainte Élisabeth donnant un pain à un miséreux, une des statues situées à l'entrée de la chapelle Sainte-Catherine, dans le bas-côté Sud de la nef de la cathédrale de Strasbourg. Histoire de Sainte Élisabeth.
Photo de la grande verrière gothique à 4 lancettes du XIVe siècle illustrant la vie publique du Christ, dans le bas-côté Sud de la cathédrale de Strasbourg. Description des verrières du bas-côté Sud de la cathédrale de Strasbourg.
Photo de la grande verrière du XIVe siècle qui retrace la Résurrection et l'Ascension du Christ, dans le bas-côté Sud de la cathédrale de Strasbourg.
Photo du vitrail illustrant le lavement des pieds des apôtres par Jésus la veille de la Passion, avant de se mettre à table pour la dernière Cène, un détail d'une verrière du bas-côté Sud de la nef, dans la cathédrale de Strasbourg.
Photo du vitrail illustrant la fuite en Égypte de Joseph, Marie et l'Enfant Jésus, un détail de la verrière du bas-côté Sud de la nef, dans la cathédrale de Strasbourg. Histoire de la fuite en Égypte.
Photo du vitrail illustrant la pêche miraculeuse, un détail de la verrière du bas-côté Sud de la nef, dans la cathédrale de Strasbourg, sur le chemin de Compostelle en Alsace. Histoire des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle.
Photo du vitrail illustrant le figuier et la rencontre de Jésus avec la Samaritaine et les Samaritains, une des pages du Nouveau Testament; un détail de la verrière du bas-côté Sud de la nef, dans la cathédrale de Strasbourg.
Photo du vitrail illustrant Simon de Cyrène qui aide Jésus à porter sa croix, la station V du chemin de croix; un détail de la verrière du bas-côté Sud de la nef, dans la cathédrale de Strasbourg. Histoire et description du chemin de croix.
Photo du vitrail illustrant le diable enchainé, un détail de la verrière du bas-côté Sud de la nef, dans la cathédrale Notre-Dame de Strasbourg.
Photo du vitrail illustrant le diable et les damnés, un détail de la verrière du bas-côté Sud de la cathédrale de Strasbourg.
Photo de l'ensemble du bas-côté Sud de la nef, avec ses grandes verrières à 4 lancettes et son plafond voûté sur croisées d'ogives, dans la cathédrale de Strasbourg, avec en fond, l'entrée du transept Sud.
Photo des grandes statues en grès des Vosges alignées à l'entrée de la chapelle Sainte-Catherine, dans le bas-côté Sud de la nef de la cathédrale de Strasbourg. Yves Noto Campanella photographe.
Photos-alsace-lorraine.com est un site de découverte, une photothèque et un voyage initiatique au coeur des régions d'Alsace et de Lorraine mais également des plus beaux villages de France. Il est une invitation d'un photographe à travers son univers: la nature, la faune, la flore, mais aussi des villes, des villages, des châteaux... Yves Noto Campanella vous convie au fil de ses 30 ans de photographie à vivre en images les pays de Marcel Pagnol, du Saulnois, du Sundgau... Cette banque d'images est destinée aux particuliers comme aux professionnels, elle se compose d'environ 20 000 photos sur plus de 200 000 que comprend le stock. Photographe dans les milieux du tourisme, Yves Noto Campanella travaille pour la promotion et la mise en valeur de tous les espaces naturels et urbains. Ses principaux clients étant les éditeurs de livres et cartes postales, conseils régionaux et généraux, offices de tourisme, revues, municipalités, cabinets d'architectes... Les photos peuvent êtres achetées en ligne sur demande et sont disponibles en haute définition, Yves Noto Campanella réalise également des reportages dans toute la France.
Photo de la statue gothique en grès de Saint Jean-Baptiste à l'entrée de la chapelle Sainte-Catherine, dans le bas-côté Sud de la nef, dans la cathédrale de Strasbourg. Histoire de Saint Jean-Baptiste.
Fils de Zacharie et d'Élisabeth la cousine de Marie, Jean le Baptiste ou Yahyâ ibn Zakariya, plus connu sous le nom de Saint Jean-Baptiste, était prédicateur en Judée au temps de Jésus. Il est le prophète qui a annoncé la venue de Jésus de Nazareth et l'a désigné comme "l'agneau de Dieu, qui enlève le péché du monde". C'est Jean le Baptiste qui a donné le baptême à Jésus sur les bords du Jourdain. Saint Jean-Baptiste est mort en martyr, décapité vers l'an 28 sur demande d'Hérodiade, la femme du gouverneur Hérode Antipas.
Photo de la statue de Sainte Catherine avec la roue de son martyre, à l'entrée de la chapelle qui lui est consacrée, dans le bas-côté Sud de la nef, à la cathédrale de Strasbourg. Histoire de Sainte Catherine.
Catherine d'Alexandrie est née vers 290 dans une famille noble d'Alexandrie, en Égypte, belle, riche et d'une grande intelligente, elle décida de consacrer sa vie à Jésus-Christ. Catherine d'Alexandrie voulut convertir au christianisme l'empereur de Rome, Maxence qui lui impose un débat philosophique avec cinquante savants qu'elle réussit à convertir, Maxence les fait exécuter et propose cependant le mariage à Catherine, elle refusa. L'empereur ordonne alors de la faire torturer en usant d'une machine constituée de roues garnies de pointes, par un miracle divin, les roues se brisent sur son corps, et les pointes aveuglent les bourreaux. Obstiné, Maxence ordonne alors le 25 novembre 307 que Catherine soit décapitée. Sainte Catherine est le plus souvent représentée avec la roue de son supplice, elle est la patronne des philosophes, des orateurs, des avocats, des étudiants, des couturières et autres métiers utilisant une roue, mais également des jeunes filles. Sainte Catherine d'Alexandrie fait partie des 14 saints auxiliateurs, elle est dotée des 3 auréoles: la blanche des vierges, la verte des savants et la rouge des martyrs. Elle est invoquée contre les maladies de la langue, la dermatose, l'eczéma et les migraines.
Photo de Sainte Élisabeth donnant un pain à un miséreux, une des statues situées à l'entrée de la chapelle Sainte-Catherine, dans le bas-côté Sud de la nef de la cathédrale de Strasbourg. Histoire de Sainte Élisabeth.
Sainte Élisabeth de Hongrie était la fille du roi André II de Hongrie et de Gertrude d'Andechs-Meran, elle est née en 1207 en Hongrie. Élisabeth a été fiancée à 4 ans et mariée à 14 ans à Louis IV de Thuringe avec qui elle aura 3 enfants. Son époux mourut de la peste en 1227 alors qu'Élisabeth n'avait que vingt-deux ans, elle resta veuve et consacra le reste de sa vie à Dieu. Mal vue et repoussée des siens, elle les quitta pour se faire pauvre avec les plus pauvres et renonça à tous. Élisabeth fit construire un hôpital avec sa dot dans lequel elle travailla comme la dernière des servantes, s'occupant de préférence des malades atteints des maladies les plus repoussantes, accomplissant les besognes les plus viles. Élisabeth de Hongrie meurt le 17 novembre 1231 à Marbourg à l'âge de 24 ans, elle a été canonisée en 1235 par le pape Grégoire IX. Le miracle des roses raconte qu'Élisabeth dérobe dans la cuisine du château des victuailles pour les distribuer aux pauvres, surprise, elle dit à son beau-frère qu'elle transporte là des roses pour s'en tresser une couronne; les aliments se sont effectivement transformés en roses dans sa corbeille. C'est le miracle des roses. C'est pour cela que Sainte Élisabeth est le plus souvent représentée en princesse richement vêtue, tenant des roses dans un pli de son manteau.
Photo de la grande verrière gothique à 4 lancettes du XIVe siècle illustrant la vie publique du Christ, dans le bas-côté Sud de la cathédrale de Strasbourg. Description des verrières du bas-côté Sud de la cathédrale de Strasbourg.
Les 5 grandes verrières du bas-côté Sud de la cathédrale Notre-Dame de Strasbourg furent remplacées vers 1330, elles sont compartimentées de scènes de la vie de la Vierge Marie et de l'enfance du Christ, de la vie publique du Christ, de la Passion du Christ, de la Résurrection et de l'Ascension ainsi que du Jugement Dernier.
Photo de la grande verrière du XIVe siècle qui retrace la Résurrection et l'Ascension du Christ, dans le bas-côté Sud de la cathédrale de Strasbourg.
Photo du vitrail illustrant le lavement des pieds des apôtres par Jésus la veille de la Passion, avant de se mettre à table pour la dernière Cène, un détail d'une verrière du bas-côté Sud de la nef, dans la cathédrale de Strasbourg.
Photo du vitrail illustrant la fuite en Égypte de Joseph, Marie et l'Enfant Jésus, un détail de la verrière du bas-côté Sud de la nef, dans la cathédrale de Strasbourg. Histoire de la fuite en Égypte.
La fuite en Égypte et le massacre des innocents représentent Joseph, Marie et l'Enfant Jésus quittant la Palestine pour l'Égypte afin d'échapper au massacre des enfants perpétré par le roi Hérode Ier qui apprit la naissance à Bethléem du futur roi des Juifs.
Photo du vitrail illustrant la pêche miraculeuse, un détail de la verrière du bas-côté Sud de la nef, dans la cathédrale de Strasbourg, sur le chemin de Compostelle en Alsace. Histoire des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle.
Saint Jacques le Majeur est l'un des douze apôtres, le fils de Zébédée et de Salomé, c'est le frère de Saint Jean avec qui il pêchait sur le lac de Tibériade. Il est témoin, avec Pierre et Jean, des miracles et de la Transfiguration ainsi que de la prière de Jésus au mont des Oliviers. Après la mort de Jésus, Saint Jacques le Majeur est témoin de la troisième apparition du Christ, sur les bords du lac de Tibériade lors de la pêche miraculeuse. Saint Jacques le Majeur fut décapité à Jérusalem en l'an 44, la légende a fait de lui l'apôtre de l'Espagne. La tradition veut que les compagnons de Saint Jacques aient pris un bateau avec ses reliques pour les enterrer en Espagne. Ils arrivèrent sur une plage de Galice, près de la ville d'Iria Flavia, son corps fut mis en terre dans un "compostum" un cimetière. En 813 un ermite du nom de Pelayo fut guidé par une étoile surnaturelle jusqu'à l'endroit de la sépulture, appelé "campus stellaee" champ de l'étoile, ce qui a donné le mot Compostelle. Le roi Alphonse II sous l'épiscopat de l'évêque Teodemir fit construire une église à côté du tombeau, c'est ainsi que naquit Saint-Jacques-de-Compostelle. Le culte de Saint Jacques le Majeur est très local au IXe siècle, mais la ville de Compostelle va prendre de l'ampleur où une cathédrale y est érigée. Au Xe siècle la réputation du culte dépasse les frontières, et l'évêque Godescalc du Puy-en-Velay se rend à Compostelle en 950, à la suite de quoi, en 1079, la première voie sur le chemin de Compostelle est née en France. Les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle sont composés aujourd'hui de plusieurs itinéraires en Espagne et en France, ils ont été déclarés en 1987 "Premier itinéraire culturel" par le Conseil de l'Europe. En 1989 le pape Jean-Paul II rassembla 500 000 jeunes aux Journées Mondiales de la Jeunesse à Saint-Jacques-de-Compostelle. Le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle en Alsace part de Wissembourg et traverse notamment les villes, villages et sites de: Hunspach, Surbourg, Walbourg et Haguenau au Nord, la ville de Strasbourg et la route des vins d'Alsace avec Avolsheim, Molsheim, Rosheim, Obernai, le Mont Sainte-Odile, Barr, Andlau, Epfig, Dambach-la-Ville, Scherwiller, Châtenois, Kintzheim, Saint-Hippolyte, Bergheim, Ribeauvillé, Hunawihr, Riquewihr, Kaysersberg, Niedermorschwihr, Turckheim, Eguisheim, Rouffach, Soultzmatt, Guebwiller, Jungholtz, Thann, Leimbach, Bellemagny et Feldbach dans le Sundgau.
Photo du vitrail illustrant le figuier et la rencontre de Jésus avec la Samaritaine et les Samaritains, une des pages du Nouveau Testament; un détail de la verrière du bas-côté Sud de la nef, dans la cathédrale de Strasbourg.
Photo du vitrail illustrant Simon de Cyrène qui aide Jésus à porter sa croix, la station V du chemin de croix; un détail de la verrière du bas-côté Sud de la nef, dans la cathédrale de Strasbourg. Histoire et description du chemin de croix.
Dans la tradition catholique, le chemin de croix est le chemin que Jésus a parcouru durant les heures qui ont précédé sa mort. Dans chaque église on retrouve sur les murs une série de quatorze tableaux, appelée "chemin de croix", relatant les derniers moments de la vie de Jésus. Chaque année pendant la Semaine Sainte, les chrétiens, à travers le monde, rappellent et revivent l'évènement de la mort et de la résurrection de Jésus-Christ. Les stations du chemin de Croix traditionnelle sont: I Jésus est condamné à être crucifié, II Jésus est chargé de sa croix, III Jésus tombe pour la première fois sous le poids de la croix, IV Jésus rencontre sa mère, V Simon de Cyrène aide Jésus à porter sa croix, VI Sainte Véronique essuie le visage de Jésus, VII Jésus tombe pour la deuxième fois, VIII Jésus rencontre les femmes de Jérusalem qui pleurent, IX Jésus tombe pour la troisième fois, X Jésus est dépouillé de ses vêtements, XI Jésus est cloué sur la croix, XII Jésus meurt sur la croix, XIII Jésus est détaché de la croix et son corps est remis à sa mère, XIV Jésus est mis au tombeau. Les stations du chemin de Croix instauré en 1991 sont: I Jésus au jardin de Gethsémani, II Jésus trahi par Judas et arrêté, III Jésus est condamné par le Sanhédrin, IV Jésus est renié par Pierre, V Jésus est jugé par Pilate, VI Jésus est couronné d'épines, VII Jésus prend sa croix, VIII Simon de Cyrène aide Jésus à porter la croix, IX Jésus rencontre les femmes de Jérusalem, X Jésus est cloué sur la croix, XI Jésus promet son royaume au bon larron, XII Jésus confie sa mère à Jean, XIII Jésus meurt sur la croix, XIV Jésus est mis au tombeau.
Photo du vitrail illustrant le diable enchainé, un détail de la verrière du bas-côté Sud de la nef, dans la cathédrale Notre-Dame de Strasbourg.
Photo du vitrail illustrant le diable et les damnés, un détail de la verrière du bas-côté Sud de la cathédrale de Strasbourg.
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