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Photos de la chapelle Saint-Léon IX d'Eguisheim


Photo du château des comtes d'Eguisheim avec la chapelle Saint-Léon IX à la tombée de la nuit, sur la place du Château Saint-Léon, dans le coeur historique d'Eguiseim. Histoire du château des comtes d'Eguisheim.


Le château des comtes d'Eguisheim aurait été construit vers 720 par le comte Eberhard, petit-fils du duc d'Alsace Adalric-Etichon, le père de Sainte Odile. En 1002 y naquit Bruno d'Eguisheim qui deviendra le pape Léon IX. Le château d'Eguisheim se situe dans le coeur historique de la cité médiéval, sur la place du Château Saint-Léon. Le rez-de-chaussée est renforcé par de puissants contreforts, il est percé d'une baie ternée romane en plein-cintre. Les étages sont munis de belles fenêtres à meneaux. L'oriel de deux étages est flanqué d'une baie ternée et d'une baie géminée en plein-cintre, elles sont surmontées d'une galerie couverte. La belle tour polygonale Renaissance renferme un escalier à vis, elle est coiffée d'une toiture couverte de tuiles polychromes vernissées. L'intérieur comprend au rez-de-chaussée de belles salles du Xe siècle. À côté a été bâtie au XIXe siècle la chapelle Saint-Léon IX qui abrite des reliques du saint pape natif d'Eguisheim. Le château des comtes d'Eguisheim est classé aux Monuments Historiques depuis 1903.

Photo de la statue de Saint Léon IX à la tombée de la nuit, avec la chapelle qui lui est consacrée, dans le coeur historique d'Eguiseim; une cité médiévale qui se déploie autour de son château fondé par le comte Éberhard au VIIe siècle.


Photo en contre-plongée de l'ensemble de la nef de la chapelle néo-romane Saint-Léon IX construite entre 1888 et 1894, avec ses merveilleuses fresques sur le plafond qui retrace la vie du saint pape.


Photo de la nef et du choeur de la chapelle Saint-Léon IX construite au XIXe siècle, à côté du château des comtes d'Eguisheim, dans le centre historique de la cité médiévale. Histoire de la chapelle Saint-Léon d'Eguisheim.


La chapelle néo-romane Saint Léon IX d'Eguisheim a été bâtie sur les fondations de l'ancien donjon, à l'intérieur des remparts octogonaux du château des comtes d'Eguisheim entre 1888 et 1894. Elle a été élevée dans un style roman du XIe siècle sous l'impulsion de l'évêque de Strasbourg, Monseigneur Pierre-Paul Stumpf natif du village. L'intérieur de la chapelle Saint-Léon IX est une pure merveille, les voûtes peintes de motifs floraux sont complétées de 7 médaillons qui illustrent des scènes de la vie de Bruno d'Eguisheim, le saint pape alsacien. Les vitraux des fenêtres en plein-cintre du XIXe siècle illustrent des saintes et des saints chers aux alsaciens. La chapelle renferme également des reliques de Léon IX. Le choeur de la chapelle Saint-Léon IX d'Eguisheim est munie d'une fresque qui illustre le Christ en Gloire entouré des 4 symboles des évangélistes appelés tétramorphe, de part et d'autre sont représentés dans les deux vitraux, les saints apôtres Pierre et Paul.

Photo de la statue polychrome du saint patron natif de la cité médiévale d'Eguisheim, dans la nef de la chapelle Saint-Léon IX. Photos de la chapelle Saint-Léon d'Eguisheim, tourisme à Eguisheim.


Photo du reliquaire de 1894 contenant une partie du crâne du pape alsacien Léon IX natif de la cité médiévale d'Eguisheim, dans la nef de la chapelle Saint-Léon IX.


Photo du pape Saint-Léon IX qui illustre un vitrail du XIXe siècle, dans la nef de la chapelle Saint-Léon construite de 1888 et 1894, dans le centre historique d'Eguisheim. Histoire de Saint-Léon IX.


Bruno d'Eguisheim-Dagsbourg est né le 21 juin 1002 à Eguisheim, son père, Hugues IV est seigneur d'Eguisheim et sa mère est la fille du comte de Dabo. Après avoir suivi dès l'âge de 5 ans ses études à Toul, il devient chapelain de l'Empereur Conrad II, puis évêque de Toul en 1026. Il est couronné pape le 12 février 1049 sous le nom de Léon IX. Le pape Léon IX a lutté pour la paix en Europe où il voyagea beaucoup, son pontificat est marqué par le début de la réforme grégorienne et la lutte contre les hérésies. Le pape Léon IX est mort le 19 avril 1054 à Rome, il a été canonisé par le pape Victor III en 1087.

Photo de Saint Arbogast qui illustre un vitrail du XIXe siècle, dans la nef de la chapelle Saint-Léon IX construite de 1888 et 1894, dans le centre historique d'Eguisheim. Histoire de Saint Arbogast.


Saint Arbogast est né au VIe siècle, selon les uns en Écosse et selon les autres en Aquitaine, il avait décidé de quitter le monde pour rechercher la paix intérieure, pour ce faire, il gagna l'Alsace où il se retira en ermite dans la forêt sainte de Haguenau. Arbogast s'installa à l'ombre d'un gros chêne et se consacra à la prière et à la méditation. La réputation de grande sainteté de l'ermite Arbogast est parvenue très vite aux oreilles du roi qui l'aurait alors appelé à l'épiscopat de Strasbourg. Saint Arbogast fut évêque de Strasbourg en 550, il a fondé le premier monastère en Alsace, à Surbourg, ainsi que la première cathédrale de Strasbourg, qu'il consacra à Notre-Dame. Saint Arbogast a été enterré sur la colline Saint-Michel, (aujourd'hui chapelle de la clinique Sainte-Barbe), ses reliques ont été partagées entre le couvent Saint Arbogast de Strasbourg et celui de Surbourg (devenu l'abbatiale Saint Arbogast), des pèlerinages pour célébrer son ermitage ont également lieu à la chapelle érigée au vieux chêne, dans la forêt sainte "Silva sancta" de Haguenau. Saint Arbogast est le plus souvent représenté en évêque, avec sa mitre symbolisant la dignité épiscopale et la crosse, symbole de la houlette du pasteur qui veille son troupeau.

Photo de Saint Materne qui illustre un vitrail du XIXe siècle, dans la nef de la chapelle Saint-Léon IX construite au XIXe siècle, dans le centre historique d'Eguisheim. Histoire de Saint Materne.


Saint Materne est né en Lombardie vers la fin du IIe siècle. Il prit une part active au concile de Rome en 313 et à celui d'Arles en 314. Réputé pour sa sagesse, il était proche de l'empereur Constantin. Materne était évêque de Cologne, de Trèves et de Tongres, il a évangélisé les régions rhénanes. Saint Materne est mort à Trèves vers 340. Selon une très belle légende, il aurait été le fils ressuscité de la veuve de Naïm, envoyé par Saint Pierre avec Euchère et Valère pour évangéliser les régions rhénanes, il tomba gravement malade en Alsace et mourut; ses amis Euchère et Valère retournèrent à Rome auprès de Saint Pierre qui leur donna son bâton afin qu'ils le mette dans la main de Materne, après une longue marche se fut chose faite et Materne ressuscita et reprit son apostolat. Saint Materne est imploré pour la guérison des fièvres.

Photo du vitrail illustrant Dagobert Ier, roi des Francs au VIIe siècle, avec une maquette d'abbaye et une épée en mains, dans la chapelle Saint-Léon IX, sur la place du Château Saint-Léon à Eguisheim. Histoire du roi Dagobert,.


Dagobert Ier est né vers 603, il appartient à la dynastie mérovingienne. Fils de Clotaire II et de Bertrade, arrière-petit-fils de Clovis, Dagobert Ier règne sur l'Austrasie de 622 à 632. Dagobert Ier est secondé par le trésorier du royaume, Saint Eloi et il est conseillé par Saint Ouen ou Arnoul de Metz, ensemble ils vont réorganiser et réunifier le royaume. Dagobert Ier est roi des Francs de 629 à 639, durant cette période, il a sa résidence le plus souvent autour de Paris. Dagobert Ier multiplia les fondations religieuses et charitables et fonda l'abbaye de Saint-Denis à laquelle il accorda de nombreux privilèges et de dons. Dagobert Ier meurt d'une maladie à l'âge de 36 ans le 19 janvier 639, il repose dans la basilique Saint-Denis à Paris. La célèbre chanson concernant le "bon roi Dagobert" date de la Révolution Française, elle était destinée à tourner la royauté en ridicule, les révolutionnaires s'inspirant de la vie mouvementée et débauchée de Dagobert qui se serait rendu à un conseil avec son pantalon mal ajusté.

Photo de Saint Morand en moine clunisien, avec son bourdon de pèlerin, une grappe de raisin et la Bible dans les mains, sur un vitrail du XIXe siècle, dans la nef de la chapelle Saint-Léon IX d'Eguisheim. Histoire de Saint Morand.


Saint Morand, du latin Morandus ou Moderamnus est né entre 1050 et 1075; originaire de Rhénanie, il fut un moine clunisien suite à un pèlerinage à Compostelle. Il est surnommé "l'apôtre du Sundgau" ou Morand de Cluny. Saint Morand joua un rôle important, au cours du Moyen Âge, on lui attribue l'introduction de la vigne en Alsace et il est vénéré comme saint protecteur de la vigne et du vin, il est également invoqué contre de nombreuses maladies. Saint Morand est mort par épuisement le 3 juin 1115 et il a été canonisé en 1181 à la demande de l'évêque de Bâle, il reçut le nom "d'apôtre du Sundgau". Son tombeau à Altkirch est devenu un lieu de pèlerinage très fréquenté, Saint Morand étant invoqué contre les maux de tête, la protection du bétail et de la vigne. Il est le plus souvent représenté en moine clunisien avec un bourdon de pèlerin, une grappe de raisin et la Bible dans les mains.

Photo de la verrière illustrant Saint Pirmin en évêque, avec une maquette d'abbaye et sa crosse episcopale en mains; un vitrail du XIXe siècle situé dans la nef de la chapelle Saint-Léon IX d'Eguisheim. Histoire de Saint Pirmin.


Pirmin est né vers 670 dans le sud de l'Aragon, c'était un moine d'ascendance Visigothe des environs de Narbonne influencé par le christianisme irlandais. Devenu évêque, Pirmin est envoyé dans les régions du Rhin supérieur afin d'y évangéliser les païens. À partir de 724 il y fonde plusieurs monastères et abbayes, d'abord le monastère de Reichenau, sur le lac de Constance, puis: Murbach, Gengenbach, Hornbach, Amorbach, Wissembourg, Marmoutier entre autres. Pirmin meurt en 753 à Hornbach dans le Palatinat où il a donné son nom à la ville de Pirmasens, il est canonisé et déclaré Saint au XVIIIe siècle. Saint Pirmin est le saint patron de l'évêché de Spire, de l'île de Reichenau et de la ville d'Innsbruck mais également un des saints patrons de l'Alsace. Saint Pirmin est invoqué pour la guérison des maladies des yeux, il est commémoré le 3 novembre.

Photo du très beau vitrail illustrant Sainte Odile patronne de l'Alsace, dans la chapelle Saint-Léon IX de Eguisheim, élu village préféré des Français en 2013 à l'émission de France 2 présentée par Stéphane Bern. Histoire de Sainte Odile.


Odile est née vers 662 sur un site occupé dès l'époque celtique, l'Altitona (le Mont Sainte-Odile). Au VIIe siècle le duc mérovingien Etichon-Adalric règne sur l'Alsace, sa femme, Bereswinde lui donne un enfant premier-né, une fille aveugle, Odile. Rejetée par son père, la fillette est élevée dans le couvent de Palme, elle y reçoit le baptême par Saint Erhard évêque de Ratisbonne, au moment où l'huile sainte touche les yeux de l'enfant, celle-ci retrouve la vue. C'est à ce moment qu'elle reçoit le nom d'Odile, qui signifie « fille de la lumière ». Odile revient en Alsace, elle reçoit de son père le Hohenbourg et y érige un monastère vers 700. Ce monastère devient très vite florissant, alors Odile en fait construire un second appelé "Niedermünster" ce qui signifie << le monastère d'en bas >>. Environ 20 ans plus tard Odile meurt et un important pèlerinage se développe autour de son tombeau. Sainte Odile a été canonisée au XIe siècle par le pape alsacien Léon IX et déclarée Sainte Patronne de l'Alsace par le pape Pie XII en 1946. Lieu de pèlerinage accueillant près de 2 000 000 de visiteurs par an, le Mont Sainte-Odile domine la plaine d'Alsace et surplombe le Mur Païen. Sainte Odile est notamment sollicitée pour les maladies des yeux et pour la délivrance des âmes du Purgatoire. Elle est le plus souvent représentée en robe d'abbesse avec la crosse et le livre de la "Règle" des moines et des moniales sur lequel sont disposés deux yeux ouverts, symbole de la cécité dont elle a été guérie.

Photo de Sainte Attale en robe d'abbesse avec la crosse et la Bible en mains, sur un vitrail du XIXe siècle, dans la nef de la chapelle Saint-Léon IX construite au XIXe siècle, en plein centre historique d'Eguisheim. Histoire de Sainte Attale.


Sainte Attale ou Attalia ou Attala est la fille du duc Adalbert et de la duchesse Gerlinde, elle a été formée par sa tante Sainte Odile. Sainte Attale fut la première abbesse du monastère Saint-Étienne de Strasbourg qui fut bâti pour elle par son père vers 717. Elle dirigea son monastère dans la douceur et la piété à l'image de sa tante du Hohenbourg. Attale se voulait dure avec elle mème et attentionnée et délicate avec ses religieuses, elle sut faire vivre sa communauté dans l'harmonie, et était aimée par ses proches comme par toute la ville qui la vénérée. À sa mort, vers 741, la ville de Strasbourg laissa son corps exposé pendant cinq semaines, on venait de partout pour lui rendre hommage. La légende raconte que son amie Wérentrude, abbesse du Hehenbourg voulue une relique d'Attale, elle envoya donc le prêtre Werner à l'église Saint-Étienne où elle était exposée, arrivé sur place il s'empara de la main droite de la sainte en la coupant, mais au moment de s'en retourner au Mont Sainte-Odile, il se fit prendre et la relique fut mise dans une boîte en cristal et conservée. De nos jours cette relique de Sainte Attale existe toujours, elle est exposée tous les 3 décembre à l'église Sainte-Madeleine de Strasbourg.

Photo en gros plan du vitrail illustrant Sainte Eugénie d'Alsace en robe d'abbesse, avec la crosse et le livre saint en mains, dans la nef de la chapelle Saint-Léon IX d'Eguisheim. Histoire de Sainte Eugénie.


Eugénie est née vers la fin du VIIe siècle, elle est la soeur de sainte Attale, fille du duc d'Adalbert d'Alsace et la nièce de Sainte Odile. Elle passe ses jeunes années dans la prière, le recueillement et la méditation avant de rejoindre sa tante Sainte Odile à l'abbaye d'Hohenbourg. À la mort de Sainte Odile vers 720, Eugénie lui succède et devient la deuxième abbesse de l'abbaye d'Hohenbourg. Eugénie administre avec courage ce lieu saint d'Alsace, elle suit les traces de sa tante, Sainte Odile et maintient la régularité et la discipline, elle donne l'exemple de toutes les vertus. Eugénie ouvre ses bras aux pauvres, aux malheureux, aux malades, elle les laves et les soignes; consolatrice des affligés, elle offrait également l'hospitalité aux voyageurs. Eugénie d'Alsace meurt le vendredi 16 septembre à l'abbaye d'Hohenbourg, au Mont Sainte-Odile, elle est enterrée à côté de sa tante dans l'église Saint-Jean-le-Baptiste.

Photo en gros plan du vitrail illustrant Sainte Richarde en robe d'impératrice coiffée de sa couronne, avec la maquette d'une abbaye en main, dans la nef de la chapelle Saint-Léon IX d'Eguisheim. Histoire de Sainte Richarde.


Richarde de Souabe est née en 843, elle est la fille du comte Erchanger de Souabe. Elle épousa en 862 le jeune prince carolingien Charles III dit "le Gros" qui devient roi des Francs de Rhénanie puis empereur d'Occident en 881. Charles le Gros fit cadeaux à son épouse Richarde qui était chrétienne de nombreuses abbayes dont celle d'Étival. Richarde était une très belle femme, très pieuse et engagée en politique auprès de son mari qu'elle conseille. Mais l?empereur veut répudier son épouse pour cause d?adultère, Richarde propose de prouver sa fidélité et sa virginité par l?épreuve du feu. C'est à partir de là que la légende raconte que Richarde pour prouver son innocence, se soumet au jugement de Dieu; pour ce faire, elle marche sur un bûcher et traverse les flammes sous le regard de son mari et d'un évêque, elle sort de cette épreuve sans la moindre brûlure et pleinement justifiée. Mais meurtrie de cette humiliation, Richarde quitte Charles le Gros pour vivre retirée dans la montagne. Sur le chemin, elle voit un ange qui lui dit << là où tu verras un ours creuser la terre, tu établiras la demeure de Dieu >>. Ce fut chose faite à l'entrée d'une vallée, à côté d'une rivière, Richarde vit un ours gratter le sol et c'est là qu'elle fonda son monastère qui deviendra l'abbaye Sainte Richarde d'Andlau. Richarde mourut le 18 septembre 896; quand le pape Léon IX vint en Alsace, il plaça les restes de la première abbesse d'Andlau sur des autels, lui rendit hommage et la canonisa en 1049 sous le nom de Sainte Richarde d'Andlau. Aujourd'hui, l'église Saint-Pierre-et-Paul, ancienne abbaye Sainte-Richarde d'Andlau et un haut lieu d'énergie en Alsace, de très nombreux visiteurs et pèlerins y viennent se ressourcer et trouver le réconfort. L'ancienne abbaye Sainte Richarde d'Andlau fut témoin de nombreuses guérisons inexpliquées, encore aujourd'hui des pèlerins souffrant de mots de tête, de douleurs articulaires, de problème de dos... y ressortent soulagés.

Photo des 7 médaillons peints sur le plafond de la nef de la chapelle Saint-Léon IX d'Eguisheim, ils illustrent des scènes de la vie de Bruno d'Eguisheim élu pape le 12 février 1049 sous le nom de Léon IX.


Photo d'un médaillon peint sur le plafond de la nef de la chapelle Saint-Léon IX d'Eguisheim, il illustre une scène de la vie du pape alsacien Léon IX, Bruno d'Eguisheim.


Photo d'un des 7 médaillons qui illustrent la vie du pape alsacien Léon IX, Bruno d'Eguisheim, sur le très beau plafond peint également de motifs floraux, dans la nef de la chapelle Saint-Léon IX d'Eguisheim.


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